Code de déontologie

En tant que Réflexologue exerçant selon l’Energétique Chinoise, j’adhère au code de déontologie du Centre de formation Mireille Meunier.

Je m’engage à :

  • Ne pas me substituer aux professionnels de santé, à ne pas prodiguer de diagnostic, de prescription médicale et à ne pas interférer avec des traitements médicaux en cours.
  • Restaurer au maximum l’autonomie de la personne consultante et laisser à celle-ci sa totale liberté de choix thérapeutique.
  • Observer l’attitude absolue de réserve et de secret professionnel pour toutes les personnes consultantes. Je m’engage à respecter la confidentialité des informations collectées durant l’accompagnement individuel.
  • Ne pas cautionner ni alimenter les excès, errances (émotionnelles, spirituelles, addictions, dérives perverses) ou projections de mon client, afin de demeurer authentique dans la démarche stricte et exclusive du réflexologue.
  • Interdire toute propagande, prosélytisme religieux ou idéologique au sein de mon cabinet.
  • Respecter les concepts et les principes généraux de la réflexologie. Je s’engage également à ne pas dénaturer ou amalgamer la réflexologie avec d’autres techniques sans que la personne consultante soit avertie.
  • Respecter les limites de mes compétences et orienter la personne consultante vers un(e) autre professionnel(le) lorsque celle-ci nécessite un traitement ou une aide thérapeutique ne relevant pas de mes compétences.
  • Exercer l’activité avec humanité, probité et loyauté et en accord avec les référentiels d’activités élaborés par les écoles référencées aux RNCP.
  • Observer le principe fondamental du respect de la personne humaine et protéger l’intégrité physique et psychique des personnes sous ma responsabilité.

Avertissement : les techniques manuelles pratiquées au cabinet ne se substituent en aucun cas à l’avis d’un médecin et aux examens d’investigations. Conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret n° 60665 du 4 juillet 1960, à l’article L. 489 du code de santé publique et au décret n° 96-979 du 8 octobre 1996, il ne s’agit nullement de soins médicaux ou de kinésithérapie.